Il n’y a que de bonnes raisons pour concevoir une stratégie financière, mais l’exercice n’est pourtant pas le plus populaire au sein d’une entreprise. Rares sont les patrons qui prennent conscience qu’il peut facilement être externalisé — et garantir une gestion aussi constante, claire et détaillée que s’il était adopté en interne. Mieux encore, le partenaire maîtrise tous les mécanismes pour vous permettre de piloter la société de manière optimale ! Am stram gram, qui définira votre stratégie ? Nous, on a notre Enfin ! petite idée…
Établir une stratégie s’impose. À tous les entrepreneurs. Pour votre entreprise, il s’agit surtout d’avoir une vision synthétique de la solvabilité de la PME, de sa rentabilité et de ses perspectives. Elle permet de comprendre, de choisir, de se positionner et d’investir. Bref, de piloter. Elle rassure et motive également vos employés, vos actionnaires, vos clients et partenaires.
Une stratégie financière ne tient pourtant pas qu’à des chiffres. Elle situe votre société dans son environnement concurrentiel. Analyse SWOT, points forts, points faibles, positionnement, cœur de cible et valeur du produit ou service sont passés au peigne fin. Chaque challenger du domaine suit lui aussi une stratégie propre. À vous d’affiner et d’adapter la vôtre ! Rivaliser avec les acteurs et dissuader ceux à venir peut également faire partie intégrante du plan. « Surfer » sur la vague ne suffit plus. Il vous faut offrir une vraie plus-value à votre entreprise. Et cette plus-value, c’est votre stratégie financière qui vous l’apporte.
Chez Enfin !, nous persistons et signons, il n’y a que de bonnes raisons pour réaliser une stratégie financière. Mais alors, pourquoi est-ce si difficile de s’y coller ? La question est aussi simple que la réponse : elle requiert une fine connaissance et analyse du domaine et les PME ne sont clairement pas toutes outillées pour faire face au challenge. Externalisez l’exercice !
Am stram gram, qui implémentera votre stratégie financière ? Plus besoin de designer un employé, nous nous portons volontaires ! Enfin !, votre partenaire financier en externe ou dans votre conseil d’administration. Enfin !, votre spécialiste des stratégies financières.
Comment créer une planification financière ?
Selon « Le Guide du voyageur galactique », la réponse à la grande question sur la vie et l’univers est 42. Enfin Consulting revisite le concept version planification financière et vous annonce que la réponse est 3 ! Trois comme les étapes nécessaires à l’implémentation d’un plan financier. Huston… Pas de problème ! Enfin ! Finance s’occupe de tout.
Les questions s’enchaînent, l’une entraînant l’autre. Comment arrêter une décision ? Quels sont les résultats de mon entreprise ? Comment chercher un financement ? Comment améliorer la situation financière de ma société ? La réponse ? 3. Enfin, la réponse est la planification financière, en trois points : budget, prévision et plan. Enfin ! Consulting vous prouve ici que ce n’est pas de la science fiction.
1. Établir un budget
Le budget détaille les dépenses, les revenus et les répartit sur une base mensuelle. Il comprend tout ! Frais de personnel, assurances, recettes des ventes, etc. Il permet de déterminer un plan d’action, de prendre des décisions, de calculer la rentabilité et de veiller à toujours être à flot.
2. Faire une prévision
La prévision va de pair avec le budget. Pour les déterminer, vous pouvez vous baser sur le CA antérieur, les contrats à venir, ceux non renouvelés ou encore l’évolution de votre marché. Les coûts aussi s’anticipent. L’exercice se veut le plus réaliste possible et démontre que la stratégie est bien définie et les éventuels pièges pressentis.
3. Dessiner un plan financier
Doivent y figurer :
- la situation financière des propriétaires,
- les résultats de l’entreprise,
- la rentabilité
- un état des flux de la trésorerie.
Des éléments extrêmement détaillés qui mettent en scène trois scénarios (pessimiste, optimiste et probable), tout en vous offrant une vue d’ensemble pour piloter la société.
Alors oui ! À la question de la planification financière, la réponse est 3 ! Ou Enfin ! Finance. Car finalement, si le travail d’un CFO ou d’un DAF résonne comme un OVNI dans votre univers, vous pouvez déléguer ces calculs à Enfin ! Finance comme mandat court terme ou à temps partiel, en externe. Et ça, c’est fantastique !
Le cash-flow est l’un de ces termes anglo-saxons qui vient se greffer au jargon comptable des sociétés. Et l’une de ces dénominations dont on pense avoir plus ou moins appréhendé la finalité, mais qui s’avère signifier bien plus. Vous l’avez compris, le cash-flow représente le flux de liquidités — et bien plus encore. Il sert à calculer la solvabilité et la pérennité d’une maison. Une incursion, plus illustrative que mathématique, s’impose en territoire financier.
Sa traduction littĂ©rale signifie « flux de liquidité ». Son rĂ´le premier implique la mesure des mouvements de trĂ©sorerie dont dispose une entreprise. Au minimum, il doit couvrir les dĂ©penses, car ainsi la substance de la maison est conservĂ©e. L’analyse apparente est simple : un rĂ©sultat positif dĂ©montre que la sociĂ©tĂ© est en bonne santé ; un rĂ©sultat nĂ©gatif rime avec ennuis. Si seulement…
Le cash-flow c’est en fait la caisse, les comptes bancaires, les placements. Le calcul est musclé, mais on ne résiste pas à vous le présenter : « Résultat net + dotations aux amortissements + dotations aux provisions pour risques et charges — reprises sur amortissements et provisions. » Pour résumer, la trésorerie n’est pas égale au bénéfice, même si elle en fait partie.
What?
En gros, le cash-flow est un cliché instantané. Il est calculé sur différentes normes comptables. Certaines de ces normes traduisent mal l’argent effectivement généré. Par exemple. Quand la société réalise une vente, cette dernière est enregistrée dans les résultats comptables. Mais le client a trente jours pour payer. De même que l’amortissement d’un achat de bâtiment se fera sur dix ans alors qu’il a été payé en une fois. Il serait alors plus judicieux d’analyser l’origine et l’utilisation des fonds d’une entreprise en observant l’évolution de ces fonds entre deux instants précis.
So what?
Derrière le terme élémentaire et qui paraît parfois secondaire se cache un redoutable indicateur de capacité d’autofinancement (CAF). Et donc de projection. En effet, il représente le potentiel de l’entreprise à dégager des fonds pour financer les paiements des charges et des fournisseurs ou pour financer des investissements. Il est un instrument de gestion de l’entreprise à part entière et permet une planification plus fine. Pour conclure, le cash-flow est à l’entreprise ce que George est à un certain café, indissociable. What else?
Il est incontournable, le budget prévisionnel. Et fait beaucoup parler de lui. Parce qu’il est fastidieux ? Complexe ? Obscur ? On ne le dénomme pas exercice pour rien d’ailleurs. Mais connaissez-vous réellement les tenants et aboutissants de cet outil de pilotage ? Il est la condition sine qua non pour que votre petite entreprise ne connaisse pas la crise ; le tableau se veut le reflet de la santé financière de votre société. Capital pour votre développement et d’une mathématique presque implacable, cette feuille de route mérite toute votre attention. Et vous le rendra bien.
Le budget prévisionnel est l’outil par excellence pour votre pilotage d’entreprise.
Dépenses et recettes y figurent sans exception : prévisions de ventes, nouveaux financements, investissement, achats, frais généraux, charges d’exploitation, frais de personnel, amortissements, entretiens, impôts, subventions, etc. Le tableau se construit sur des informations tangibles et des estimations réalistes qui permettent d’anticiper le résultat. La feuille de route vous guide tout au long de l’année, littéralement mois par mois, et permet, le cas échéant, de ré-a-gir !
La stratégie d’entreprise sera traduite en chiffres dans le budget prévisionnel.
Ou est-ce le budget qui définit la stratégie ? L’œuf ou la poule ? Soit ! Les deux sont intrinsèquement liés et interviennent avant la définition du plan d’action. Le budget sert ensuite à analyser l’évolution, la croissance, les éventuels problèmes structurels ou conjoncturels. En gros l’exercice vous permet d’anticiper plus rapidement, plus effectivement, et de limiter les risques. Seuil de liquidités ? Investissement à moyen court terme ? Rémunération des employés ? Toutes les réponses à vos questions se trouvent dans cet imparable outil d’aide à la décision : le budget prévisionnel.
Il peut donc s’avérer le meilleur allié du chef d’entreprise. Et votre conseiller Enfin ! Peut le déchiffrer pour vous.
Comprenez par-là qu’il vous épargnera le travail d’une brève analyse financière et économique, qu’il couplera ensuite à une analyse SWOT des finances de votre entreprise. Le jargon donne déjà le tournis. En résumé, des analyses pour booster vos forces, botter en touche vos faiblesses et menaces tout en saisissant les opportunités !
Bref. Ce n’est pas une sinécure. Et c’est pourquoi Enfin ! est là  ! A bon entendeur…
Pour parler d’économies durables en entreprise, on s’autorisera des anglicismes. Et un pléonasme : la rentabilité profitable. La rentabilité représente le rapport entre les revenus d’une société et les sommes qu’elle a mobilisées pour les obtenir. Entrent alors en jeu de savants calculs qui mêlent capitaux, dettes, impôts et exploitation. Enfin, derrière les chiffres et les résultats prédomine surtout une philosophie d’entreprise. Une philosophie de rentabilité qui va bien plus loin que le caractère numérique de la démarche. Voici quelques pistes à explorer, pour en faire profiter votre finance d’entreprise.
Everybody is kung-fu fighting!
Entraînez votre agilité. Souplesse, habileté et vivacité vous aident à garder la forme — de votre entreprise. Tout est dans l’analyse et la prise de décision. Sachez externaliser les tâches qui ne sont pas liées aux services de votre entreprise et vous concentrez sur votre cœur de métier. Outsourcing rime donc avec flexibilité et risques diminués. L’externalisation n’est plus l’apanage des grandes sociétés. Il s’étend désormais aussi aux PME. On se concentre sur « creating value », la création de plus-value et on « cut the costs », on diminue les coûts là où le client ne remarque pas la différence ou n’est pas prêt à payer le surplus. CQFD.
Keep it simple!
Peu importes les latitudes que vous avez décidé d’explorer, l’important est de garder le cap. Et c’est le budget qui va vous aider à ne pas vous égarer dans les eaux troubles. Votre odyssée doit être préparée et maîtrisée au maximum. Alors on travaille ses objectifs et sa stratégie corrélatifs au budget alloué. Idem pour les dépenses. On investit quand il y a retour sur investissement. On investit quand c’est en ligne avec la stratégie. On investit là où la marge est bonne. Le reste du temps, on se concentre sur la ligne d’horizon ! CQFD.
Team spirit!
On joue en équipe. Et on chouchoute ses employés. Exit l’absentéisme ou le turnover quand les employés sont heureux ! La QVT, qualité de vie au travail, et la performance d’une entreprise sont intimement liées et ne sont plus un luxe, mais un levier de compétitivité majeur. Faites participer vos employés dans la prise de décisions. Incitations, promotions, formations, flexibilité dans les horaires ou politiques salariales avec parts variables stimulent les acteurs de l’entreprise, les impliquent, les responsabilisent et les épanouissent. CQFD.
Et si Enfin l’on arrêtait de chiffrer les économies pour se concentrer sur leur profitabilité ?
Si depuis 1997 une machine ( » Deep Blue « , d’IBM) peut battre un champion du monde d’Ă©checs ;
si, depuis 2007, une autre machine ( » Polaris « , de l’UniversitĂ© de l’Alberta) humilie des joueurs de poker professionnels ;
si, depuis 2016, une machine ( » AlphaGo « , de Google) Ă©crase un des meilleurs joueurs de go de la planète,
Alors une machine pourrait-elle remplacer votre conseiller financier ?
L’intelligence artificielle (IA) a ceci d’intĂ©ressant qu’elle permet Ă la machine d’apprendre. Elle apprend plus vite que l’homme, elle ne dort jamais, elle ne perd pas son temps Ă la machine Ă cafĂ©. Et elle n’a pas d’Ă©tats d’âme, encore qu’on puisse mĂŞme lui enseigner l’empathie.
On ne compte plus les fintechs (les startups actives dans la finance) qui dĂ©veloppent des algorithmes destinĂ©s Ă la gestion de fortune ou au trade finance. La plupart des banques pensent que l’intelligence artificielle sera dĂ©sormais le principal vecteur par lequel elles communiqueront avec leur clients ces prochaines annĂ©es. C’est en quelque sorte » Matrix » au service de la finance. Et la rĂ©alitĂ© qui nous attend dĂ©passe sans doute la fiction de la cĂ©lèbre trilogie.
Les nĂ©obanques proposent dĂ©jĂ des robots pour gĂ©rer vos investissements et portefeuilles. Mais les domaines très spĂ©cialisĂ©s et individualisĂ©s oĂą la confiance est primordiale ne sont pas encore prĂŞts Ă se laisser envahir par les droĂŻdes ! Tout comme la relation client a très certainement encore de beaux jours devant elle ! Gestionnaires de fortune ou conseillers financiers sont-ils donc encore nĂ©cessaires voire, irremplaçables ? On l’espère bien ! Le progrès pourrait par contre venir d’une synthèse entre les deux, ce qui Ă©quivaudrait Ă combiner intuition humaine et techniques infaillibles.
Codirecteur du Laboratoire d’intelligence artificielle IDSIA, Ă Lugano, l’Allemand JĂĽrgen Schmidhuber passe pour un des visionnaires de l’IA. Quand on l’interroge sur les caractĂ©ristiques qu’il prĂ©fère chez l’ĂŞtre humain, il rĂ©pond sans rire : » L’imagination et l’inventivitĂ© de beaucoup de gens. » Et chez la machine ? » L’imagination et l’inventivitĂ© de beaucoup de machines. » Perspectives vertigineuses ! Non ?
ENFIN (!), un grand débat !